Le film “fait la promotion de l’homosexualité et d’autres déviances occidentales” non conformes aux croyances religieuses et culturelles du Moyen-Orient. 

"Film Barbie" contraire aux croyances religieuses, diffusé en Arabie Saoudite 
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Le film “Barbie” a suscité un intérêt et des réactions variées dans les pays musulmans et en Arabie saoudite. La projection de ce film dans ces régions a suscité des débats sur les questions de genre, de féminisme et de valeurs culturelles.

Allant à l’encontre des normes culturelles et religieuses, le film a été déprogrammé de toutes les salles de cinéma pour “atteinte à la morale”. Les institutions religieuses ont exprimé leur mécontentement face à ce qu’ils décrivent comme une remise en question des rôles traditionnels des sexes et des valeurs traditionnelles. Dans certains pays, les voix se sont élevées pour demander l’interdiction du film en raison de son contenu, perçu comme contraire aux valeurs religieuses et culturelles.

En Arabie saoudite, la sortie du film “Barbie” a été un sujet de débat, compte tenu des changements sociaux en cours dans le pays.

Cependant, le pays reste ancré dans les normes de genre conservatrices et le débat sur la place des femmes dans la société est toujours en cours.

Certains ont vu le film comme une opportunité de réfléchir à ces questions et d’engager un dialogue sur l’émancipation des femmes et la remise en question des normes de genre.

Par ailleurs, d’autres ont critiqué le film en le rétrogradant comme une importation de valeurs occidentales qui ne correspond pas nécessairement aux valeurs et aux traditions locales. Certains ont exprimé des inquiétudes quant à l’impact du film sur la jeunesse saoudienne et sur les valeurs culturelles du pays.

Dans l’ensemble, la sortie du film “Barbie” dans les pays musulmans et en Arabie a révélé un éventail de réactions, allant de l’enthousiasme à la critique, reflétant ainsi les tensions entre les changements sociaux, les valeurs traditionnelles et les débats sur le genre ainsi que le féminisme dans ces sociétés.

By mel