Considéré comme le plus violent depuis l’année 1799, le bilan du drame ne cesse de croître avec un total de plus de 9500 morts, entre la Turquie et la Syrie. Selon le rapport de l’organisation mondiale de la santé, un compte total de plus de vingt-trois millions de personnes en état de danger potentiel, comptant cinq millions de personnes en état de risque inquiétant a été recensé.
Une aide internationale de grande envergure a été envoyée en Turquie, dont les habitants sont en état de panique et de deuil. Le climat s’avère être un obstacle pour les secours ainsi qu’une cause aggravante pour les survivants qui font face à la brise glaciale étant donné que la neige a recouvert intégralement la région turque de Kahramanmaras.
Concernant les survivants, un grand nombre d’entre eux sont piégés sous les décombres, particulièrement de jeunes enfants qui demeurent en état de choc bien qu’ils aient fait preuve d’un courage sans faille en luttant pour survivre.
En Syrie, la province d’Alep a été sévèrement frappée par le séisme, avec un grand nombre de bâtiments détruits. Le séisme a également provoqué un incendie résultant de la chute des conteneurs, ayant pour conséquence la formation d’une parcelle de pollution inquiétante.
Les habitants ont pour seul espoir le secours divin. Au-delà de l’aide médicale et financière, ils supplient leur communauté d’effectuer des duaas, (invocations) afin qu’Allâh leur vienne en aide. La situation s’aggrave mais l’espoir demeure parmi les foyers. Le chaleureux soutien de la part des impliqués se ressent à travers le montage de nombreuses cagnottes numériques, pour leur venir en aide selon les moyens disponibles.