Lors d’un déjeuner regroupant L’homme politique Américain, ainsi que le roi de Jordanie, une amitié étroite serait née entre les deux pays. C’est lors de la mention de la mosquée Al-Aqsa, située dans une zone à risque, que le président américain a évoqué sa fervente volonté de préserver son statut historique.
His Majesty King Abdullah II, at a meeting with US President Joe Biden at the White House, attended by His Royal Highness Crown Prince Al Hussein, reaffirms the deep-rooted friendship and strategic partnership between #Jordan and #USA #JORoyalVisit @POTUS @WhiteHouse pic.twitter.com/jWyOKxO5AZ
— RHC (@RHCJO) May 13, 2022
Le président américain a ensuite reconnu le rôle crucial de la Jordanie en tant que gardien des lieux saints musulmans localisés à Jérusalem. Il réitère également la position américaine souhaitant une solution comprenant la mise en place de deux états pour prôner un climat de paix.
Durant cet échange visiblement enclin à installer une atmosphère positive entre les deux états, un coup de fil entre le ministre Irakien et Joe Biden a eu lieu, ce dernier revendiquant un nouvel engagement basé sur la loyauté américaine envers le pays.
Ajoutant le souhait de préserver le peuple irakien de la menace terroriste, les deux hommes politiques se sont également rejoints sur le nouveau programme économique Irakien qui semble innovant.
Le Roi Abdallah a également été invité à se joindre à l’appel et il aurait souligné le soutien de la Jordanie à l’Irak, notamment par le biais de projets d’infrastructures stratégiques, conjoints. Concernant la mosquée Al-Aqsa, représentant le troisième lieu saint de l’Islam et le site le plus sacré pour les Juifs, ces derniers monopolisent l’endroit qui leur a longtemps été interdit.
En vertu d’une décision politique de longue date, les non-musulmans peuvent visiter le site à des heures précises, mais ne sont pas autorisés à y prier. Cependant, ces dernières années, un nombre croissant d’Israéliens ont secrètement prié dans l’enceinte. En janvier, le ministre de la sécurité nationale du nouveau gouvernement a également effectué une visite provoquant un torrent de condamnations internationales.
Le président américain a donc affirmé sa position en faveur de l’état palestinien en déclarant : “Soyons très clairs, nous voulons maintenir le statu quo et les mesures qui empêchent cela sont inacceptables. Nous avons été très clairs dans nos discussions avec le gouvernement israélien sur cette question”, a-t-il assuré.